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mardi 25 juin 2019
SF littéraire
Depuis quelques temps, je me consacra à la lecture et comme j'adore la SF, il est temps que je m'y mette à la lecture de romans de SF, et pas n'importe quelle lecture.
J'ai lu ces 5 romans en quelques semaines et vu leurs adaptations cinéma (excepté 'Ubik' (Philip K. Dick, 1966) et 'Neuromancien' (William Gibson, 1984) où c'est plutôt l'univers qui est injecté dans des œuvres originaux ('Inception' (Christopher Nolan, 2010) est un quasi-décalque cinématographique du 'Neuromancien'))
N'ayant pas l’œil pour repérer les styles littéraires de chacun de ces auteurs (George Orwell pour 'Mille neuf cent quatre vingt quatre' (1948), Ray Bradbury pour 'Fahrenheit 451' (1953), Daniel F. Galouye pour 'Simulacron 3' (1964), Philip K. Dick et William Gibson), les livres sont quand même très passionnants à lire (excepté 'Neuromancien' et son écriture barbare (pas aidée par la traduction française))
'Mille neuf cent quatre vingt quatre', 'Fahrenheit 451' et 'Simulacron 3' ont été adaptés au cinéma et la à TV plusieurs fois dans des films plus (le téléfilm allemand 'Le Monde sur le Fil' (Rainer Werner Fassbinder, 1973), d'après 'Simulacron 3') ou moins (le film de cinéma américain 'Passé Virtuel' (Josef Rusnak, 2000), d'après 'Simulacron 3' aussi) excellents.
Drôle de transmission ciné :
- dans 'Fahrenheit 451' (François Truffaut, 1966), Cyril Cusack interprète le rôle du chef zélé des pompiers, Beatty, qui applique la loi de l'embrasement de tout ce qui concerne la littérature ;
- dans 'Mille neuf cent quatre vingt quatre' (Michael Radford, 1984), Cusack interprète un vieil homme compatissant qui héberge les amants rebelles Winston (John Hurt) et Julia (Suzanna Hamilton). D'ailleurs, 'Mille neuf cent quatre vingt quatre' et 'Fahrenheit 451', les romans comme les films, ont beaucoup de similitudes dans leurs approches du monde répressif de leur univers et du caractère de leur personnage principal (Winston Smith dans 'Mille neuf cent quatre vingt quatre' / Guy Montag (Oskar Werner dans le film de Truffaut) dans 'Fahrenheit 451' ... sauf la fin, radicalement différente) ;
- dans 'V pour Vendetta' (James McTeigue, 2005), d'après la B.D. éponyme (1982) d'Alan Moore dont les grandes lignes sont quasi-similaires au 'Mille neuf cent quatre vingt quatre' d'Orwell, et donc au film éponyme de Radford, John Hurt passe de l'oppressé Smith à l'oppresseur Sutler !
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